Ce proverbe nous parle à tous, pratiquants de qi gong ou de taiji quan, entre autres.
Il nous rappelle que si notre enracinement est insuffisant, il ne faut pas s’étonner que l’on perde aussi facilement l’équilibre. On le dit, on le répète, durant les cours : “veille à ton ancrage” ! Cela est primordial.
Les mouvements des mains ou des bras, s’ils sont aussi visibles que les branches de l’arbre, ne doivent pas occulter le travail de fond sur les racines de l’arbre, c’est à dire le travail des jambes, et celui de la colonne vertébrale.
Il nous rappelle que si notre enracinement est insuffisant, il ne faut pas s’étonner que l’on perde aussi facilement l’équilibre. On le dit, on le répète, durant les cours : “veille à ton ancrage” ! Cela est primordial.
Les mouvements des mains ou des bras, s’ils sont aussi visibles que les branches de l’arbre, ne doivent pas occulter le travail de fond sur les racines de l’arbre, c’est à dire le travail des jambes, et celui de la colonne vertébrale.
Cette affirmation nous interpelle aussi en dehors des arts énergétiques ou martiaux, dans la vie courante.
En effet, il nous arrive à tous de vivre des moments difficiles ; que ce soient de simples bourrasques ou de grandes tempêtes, chacun subit ce vent à plusieurs moments de sa vie. Mais tout le monde n’est pas renversé par le vent ! Alors, d’où vient la force de ces personnes qui résistent à tous les vents ?
Ce proverbe nous suggère de regarder du côté de nos racines : savoir d’où l’on vient, connaître ce qui nous nourrit, s’appuyer sur ce qui nous fait grandir, et renforcer ses racines.
Cette maxime nous invite aussi à moins nous occuper des branches. Cela peut se faire par le tri entre ce qui est superflu et essentiel tant dans les biens matériels que dans nos actions, par l’augmentation du temps consacré aux tâches essentielles, celles qui participent à renforcer nos propres fondations plutôt que celles qui dilapident notre attention et notre énergie…
En effet, il nous arrive à tous de vivre des moments difficiles ; que ce soient de simples bourrasques ou de grandes tempêtes, chacun subit ce vent à plusieurs moments de sa vie. Mais tout le monde n’est pas renversé par le vent ! Alors, d’où vient la force de ces personnes qui résistent à tous les vents ?
Ce proverbe nous suggère de regarder du côté de nos racines : savoir d’où l’on vient, connaître ce qui nous nourrit, s’appuyer sur ce qui nous fait grandir, et renforcer ses racines.
Cette maxime nous invite aussi à moins nous occuper des branches. Cela peut se faire par le tri entre ce qui est superflu et essentiel tant dans les biens matériels que dans nos actions, par l’augmentation du temps consacré aux tâches essentielles, celles qui participent à renforcer nos propres fondations plutôt que celles qui dilapident notre attention et notre énergie…
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